ANNE-MARIE PICHÉ, travailleuse sociale, PhD, est aussi professeure à l’École de travail social de l’UQAM. Son expérience l’a amenée à créer un des premiers services aux familles ayant réalisé une adoption internationale au début des années 2000 (intervention individuelle, familiale et animation de groupes pré et postadoption). Présentement, elle réalise des études et développe des outils concernant la recherche des origines chez les personnes adoptées.

Elle s’intéresse particulièrement à travailler avec les personnes adoptées (adolescents, adultes) et leur famille, en mobilisant son expertise en adoption ainsi qu’un ensemble d’approches en intervention individuelle et familiale : écosystémique, systémique familiale, narrative, orientée vers les solutions, structurelle/anti-oppressive, ainsi que l’Adopteparentalité.

Dans son étude 'La prescription de l’attachement en contexte d’adoption internationale", Anne-Marie Piché s'est intéressée aux idéaux de prévention précoce des difficultés sociales, affectives et comportementales des enfants ont rejoint les parents adoptifs, notamment la théorie de l’attachement. Or, les familles qui adoptent des enfants aujourd’hui passent par un processus différent de constitution par rapport à celui des familles qui donnent naissance : elles ne bénéficient pas d’un lien précoce, établi à partir des premières étapes de vie de l’enfant, ni de connaissances sur son histoire lorsqu’il est accueilli. Cela peut susciter chez les parents adoptifs des dilemmes particuliers, alors que les adoptions sont de plus en plus tardives notamment à l’international. 

Dans son étude 'La prescription de l’attachement en contexte d’adoption internationale", Anne-Marie Piché s'est intéressée aux idéaux de prévention précoce des difficultés sociales, affectives et comportementales des enfants ont rejoint les parents adoptifs, notamment la théorie de l’attachement. Or, les familles qui adoptent des enfants aujourd’hui passent par un processus différent de constitution par rapport à celui des familles qui donnent naissance : elles ne bénéficient pas d’un lien précoce, établi à partir des premières étapes de vie de l’enfant, ni de connaissances sur son histoire lorsqu’il est accueilli. Cela peut susciter chez les parents adoptifs des dilemmes particuliers, alors que les adoptions sont de plus en plus tardives notamment à l’international. Les besoins de ces enfants sont fréquemment amplifiés et leurs difficultés de santé peuvent être multiples à la suite de l’arrivée dans leur nouvelle famille. Les adoptants sont ainsi de plus en plus contraints à redéfinir leur préparation au rôle de parent, leurs attentes et leurs repères. 

Les idéaux de prévention précoce des difficultés sociales, affectives et comportementales des enfants ont rejoint les parents adoptifs, notamment la théorie de l’attachement. Or, les familles qui adoptent des enfants aujourd’hui passent par un processus différent de constitution par rapport à celui des familles qui donnent naissance : elles ne bénéficient pas d’un lien précoce, établi à partir des premières étapes de vie de l’enfant, ni de connaissances sur son histoire lorsqu’il est accueilli. Cela peut susciter chez les parents adoptifs des dilemmes particuliers, alors que les adoptions sont de plus en plus tardives notamment à l’international.